
C’est notre rejet
Octobre 2017 : « Je ne suis pas fait pour diriger par temps calme. Mon prédécesseur l’était, mais moi je suis fait pour les tempêtes. »
Mai 2017 : «… une gare, c’est un lieu où on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien. »
10 décembre 2018 : « Nous ne reprendrons pas le cours normal de nos vies comme trop souvent par le passé dans des crises semblables. »
16 Avril 2019 : « Il n’y aura pas d’économie sur l’hôpital dans ce quinquennat, je vous rassure. »
6 mars 2020 : « Si on ferme toutes les écoles, il y en a beaucoup qui ne pourront plus venir travailler. (…) Et donc 15 jours ou même 8 jours après, on devra dire qu’on rouvre les écoles pour que les soignants viennent travailler. »
12 mars 2020 : « Ce que révèle d’ores et déjà cette pandémie, c’est que la santé gratuite sans condition […] notre état providence ne sont pas des coûts ou des charges mais des biens précieux, […] c’est qu’il y a des biens et des services qui doivent être placés en dehors du marché, déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner, notre cadre de vie à d’autres est une folie. »
16 mars 2020 : « Nous serons là, nous leur devons des masques, du gel, tout le matériel nécessaire et nous y veillons et nous y veillerons, des masques seront livrés dans les pharmacies dès demain soir dans les 25 départements les plus touchés et mercredi 18 pour le reste du territoire national. »
13 avril 2020 : « Sachons sortir des sentiers battus, des idéologies et sachons nous réinventer, moi le premier.
18 mai 2020 : « Nous n’avons jamais été en rupture de masques ».
13 avril 2020 : « Sachons sortir des sentiers battus, des idéologies et sachons nous réinventer, moi le premier. »
18 mai 2020 : « Nous n’avons jamais été en rupture de masques ».
Fin de leur monde, début du Nôtre